Texte de référence à propos de spring boot
Face à globalisé grandement concurrentiel, et poussées par les ruptures technologiques, les sociétés françaises ont entamé leur mutation digitale. Avec 3 millions de petites entreprises en France et 30 centaines de milliers de clients en ligne, le web représente un formidable potentiel de développement et doit s’inscrire comme levier de résultat optimal, de compétitivité et de croissance. Le rapport Deloitte/Facebook s’intéresse au niveau de maturité digitale des entreprises françaises et présente les opportunités qui vous sont exposées par l’économie numérique.
En spécifique, il est fréquent de voir le sujet réduit à l’insertion de logiciels dans la société ou la simple digitalisation de certains de ses process. Il est encore plus fréquent de la voir envisager comme un sujet purement technologique, confié à l’ « info », auquel les dirigeants ne s’intéressent que marginalement. Approcher le sujet avec cette méthode oblige le plus souvent à passer à côté du véritable enjeu : le digital est l’occasion de revoir le position de l’entreprise, son offre de valeur, son business model, dans un monde fortement modifié par le web. Alors oui, que l’on soit une tpe/pme ou un groupe international, il est nécessaire de prendre conscience que l’environnement de l’entreprise a fortement évolué du fait du web, puis de revisiter, en ayant bien compris les opportunités qui vous sont exposées par la technologie, ces questions clé de situation, de proposition de valeur, et de business model.
Les grandes sociétés, par l’intermédiaire de stratégies d’omnicanal, d’automatisations de tâches, ou aussi de constitutions d’écosystèmes numériques, ont d’ores et déjà franchi le pas de la digitalisation. Pourquoi pas vous ? Dans un cadre concurrentiel sans limites, aucune solution permettant d’accroître sa puissance et d’être toujours plus proches/connectés de/à sa clientèle n’est réservée à une élite, à des happy few. Acquérir de nouveaux marchés, accélérer les process en place, devenir plus concurrentiel… Chaque société a ses objectifs. Les tpe sont les forces vives de la croissance : elles représentent plus de 90 % de la population des entreprises, 60 à 70 % des emplois et 55 % du PIB dans les pays développés. Elles se doivent d’avoir des outils et des solutions à la hauteur de leurs ambitions et du lien qu’elles veulent tisser avec leurs clients, pour rentrer avec eux dans une nouvelle siècle, où le web serait à disposition de l’humain.
Si la digitalisation est un terme tendance, vous vous apercevrez vite que ce n’est pas une fin en soi et qu’il existe bien d’autres phases pour la compléter en toute sérénité et qualité. La question n’est plus la transformation numérique, mais la transformation tout court comme le rappelle Juliette Jarry, Vice-Présidente de la région chargée du numérique. La vraie question est : comment est-ce qu’on ajoute l’être humain au sein de la transformation ? Au sommaire : précision sur les prix des missions et challenges de la digitale chez les petites entreprises et ETI à travers la vision des institutions, celles des fondateurs et des doctorants.
si il s’agit du manque de temps ( 54% ), du coût ( 49% ), de la complexité de mise en œuvre ( 39% ), ou bien encore du manque de formation ( 36% ), chacun de ces freins à l’exécution d‘une stratégie digitale, s’ils existent encore, est clairement en diminution depuis 2017. de plus, il apparait que le digital n’irrigue pas suffisamment tous les services de l’entreprise et reste très orienté vers la communication et l’IT. La tactique de digitale des sociétés est encore trop « en silo ». Si 73% des sociétés interrogées ont une équipe dédiée à la transformation numérique, seules 33% d’entre elles sont en interaction avec d’autres départements de la société.
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