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Le chantre Stromae confiait ces temps derniers être « angoissé » pour son capital santé mentale, et qu’il souhaitait s’arrêter dans sa carrière. Trop de succès ? Trop de épuisement ? Trop de médiatisation ? Stromae n’est pas le seul destin à réveiller le sujet de la santé mentale en lien avec l’exposition médiatique : de Marilyn Monroe à Britney Spears, les portraits sont abondant. Alors la popularité pourrait-elle vraiment faire « vesser les plombs » ? voila quelques éléments de réponse.

Toutes les menstrues ont connu des idoles, ou des courageux qui ont été célébrés et réputés. En réalité, le mélange entre les activités considérables, les séjours, la richesse et une vie privée remplie de vie de couple, de pandémie ou né créer une attirance intense. Les personnes célèbres sont en même temps inaccessibles et proches, ce qui rend leur quotidien charmant. De plus, la cours qu’ils représentent, entourés d’autres personnes célèbres, se contente de recouvrir cette saisissement. Pour accéder au lieu de , la gloire, de son vivant ou après sa mort, doit assez passionner tout en restant proche de son public. C’est spécialement le cas avec les mythes hollywoodiens dont l’histoire, souvent admirable, fait rêver.

Les sociétés d’assurance rendaient son embauchage économiquement exagérée : l’acteur, à la notoriété apathique, risquait de replonger à tout moment. Happy ending : depuis huit ans, sa sobriété superlative n’égale que ses succès au box-office. Mais on attend toujours le come-back professionnel de Lindsay Lohan… « Nombre de mes patients, protagonistes et stars, m’ont été adressés par leurs producteurs, parce qu’ils n’étaient plus capable leur faire gagner de la monnaie », observe Marie-Dorée Delachair. Cette physionomiste franco-américaine, spécialiste des addictions, a pratiqué dix ans à Los Angeles. « J’intervenais pour livrer des patients, le plus fréquemment accros à la prise, en cure de désintoxication. » Elle s’est même retrouvée intercesseur sur un plateau de tournage. « Une famille dysfonctionnelle comme les autres, analyse-t-elle. J’ai dû baisser les luttes d’être capable d’, les réunir à leur projet commun. » Déontologiquement, Marie-Dorée est espérance de vie de conserver l’anonymat de ses malades. Hollywood affectionne la furtivité.

N’oublions pas que la célébrité, contrairement à la popularité, est née de la rencontre de la démocratisation et de la société d’utilisation. La renomée n’est alors plus l’apanage des rois, des aventuriers ou des responsable de guerre, à présent chacun peut prétendre à son quart heure de renommée comme le prophétisait Andy Warhol dans les années 70. Les futurs médias comme internet et les jeux video télévisés dits de ‘ télé-réalité ‘ ont rendu cette idée fortement très grande. Le métaphysicien Roger Caillois ne disait il pas déjà en 58 quelle valeur le occasion est présent lors de la aurore des célébrités et quel prix cette ‘ possibilité fantastique ‘ était efficace au même de la célébrité[1]. En effet tout le monde en regardant sa star préférée peut rêver et s’entendre : ‘ Un jour ce sera moi sur cet écran. ‘ Dans une société qui marche au réclame, voilà un phénomène qui peut toucher semble-t-il le premier survenu ; une réussite considérable qui peut être réservé au plus atrabilaire ou au plus pauvre. En cela, la popularité bafoue la rang établie, abolit la prédestination que sa condition fait peser sur tout le monde. La démocratie et la notion de concrétisation de soi sont logement de l’histoire.

Il y a quelques jours, Mallaury Nataf faisait son renouveau dans les médias, logement malgré elle. Autrefois star de la série Le Miel et les abeilles puis de Sous le soleil, elle est immédiatement du clair-obscur à l’ombre. Elle en a bénéficié pour fonder une famille. Tout aurait pu se passer pour le mieux si le préjudice psychologique qui germait déjà en elle n’avait pas profité d’un autre violent aller-retour de la réputation à l’anonymat pour lui escamoter sa vie. Sept ans après sa participation à la Ferme des personnes célèbres, elle se rapprochait des critiques pour présenter qu’elle était à la rue. Elle avait cavalerie la ados, mais est retournée à la scenario départ. Cette fois-ci, c’est plus clair. Non seulement elle est s.d.f., mais il se raconte qu’elle impulsion dans les venelle parisiennes en murmurant des prières dédiées à se défaire le mauvais oeil. Et pour entourer tout cela, compte-tenu de son état physique, on lui a retiré la garde de ses enfants.

Il estime que certains scénarios «pré-établis», comme les histoires d’ascension sociale extraordinaire, provoquent une réaction prompte parce qu’ils sont ancrés dans nos cerveaux. Si l’on observe les chambardement de vedettes, celui qui défraient le plus la chronique correspondent souvent à l’une ou l’autre de ces structures de base. Prenez la étiolement de Charlie Sheen, par exemple : c’est le conte distinctif du «mauvais garçon» –qui évolue fréquemment à la fouille de rachat, sur le inspirations du «Fils prodigue».

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