Mon avis sur Mur végétal intérieur

Complément d’information à propos de Mur végétal intérieur

l prévient mais aide aussi les malades déjà atteints. Ce sont les conclusions des médecins qui pratiquent l’hortithérapie. Inventé au 18ème siècle par le psychiatre américain Benjamin Rush, cette thérapie par le jardinage accompagne les patients atteints d’autismes, de migraines mais aussi d’Alzheimer. Le jardinage maintient l’éveil intellectuellement. Il nécessite de savoir se repérer dans le temps et dans l’espace, de savoir mémoriser le nom des plantes et de s’armer de patience : ces critères stimulent très bien le mental. Le printemps est bel et bien là. Les fleurs sont en éclosion, les températures sont plus soyeuses et les journées d’autant plus ensoleillées… L’arrivée des beaux jours est l’occasion d’apprécier les rayons du soleil, et il n’y a pas de meilleure activité que le jardinage pour cela ! Ce ne sont pas les quinquas qui diront le tout autre puisque les bénéfices physiques et sociologiques de cette activité ne sont plus à démontrer. D’après des chercheurs américains, le jardinage constituerait une véritable cure de jouvence et un atout santé pour les quinquagénaires. Selon eux, le fait de regarder un cadre pleine d’ plantations permettrait aux personnes âgées d’être en forme et de prévenir certaines pathologies liées au vieillissement. par ailleurs, si vous cultivez un potager avec des fruits et légumes, le jardinage vous permettra de profiter de produits frais de qualité, donc de reussir à garder une alimentation variée.

Le terreau, la terre et le substrat ont pour rôle de remplacer le sol originel de culture du végétal que vous souhaitez installer dans votre espace de vie, au jardin, au balcon ou à la grande terrasse. Dans les besoins vitaux de la plante, le sol permet d’ancrer son système racinaire, ce qui va tout simplement lui permettre d’aller chercher l’eau et les nutriments indispensables à son développement, à sa survie. Si les trois à propos déterminent une base sur laquelle les végétaux peuvent se développer, leur composition est bien différente. Le substrat est plutôt constitué de sédiments, de vase, de roches et de granulés de sable. Pour les besoins de certaines d’environnement, il peut être utilisé seul mais peut aussi servir de base ou de complément à une autre couche. La terre est en fait de la terre végétale, exclusivement constituée d’éléments d’origine naturelle. Le terreau, lui, est constitué de terre végétale naturelle enrichie de végétaux naturels en décomposition. Vous désirez installer ou rempoter votre végétal préféré…. Mais faut-il un terreau ‘plantation’ ou ‘rempotage’ ? La question se met en place, évidemment… Mais rappelez-vous que certaines plantes ont des besoins particuliers. Alors s’il existe des terreaux essentiellement élaborés pour une diversité de plante, préférez leurs fonctions en priorité. Le substrat est complétement adapté à la plante et celle ci sera dans de bonnes conditions pour se développer sainement.

Avant d’être intéressant pour le corps, jardiner est une belle façon de prendre soin de son esprit. En effet, loin des écrans et des tracas quotidiens, les bénéfices thérapeutiques du jardinage aident à réduire extrêmement l’anxiété. Cette activité joue de plus un rôle-clé dans le développement de la confiance en soi. En effet, qui n’a jamais discerné une pointe de fierté en voyant se accroitre ses propres végétaux ? sachez de même que la terre présente un taux élevé de sérotonine, autrement appelé « hormone du bonheur ». C’est donc prouvé, jardiner rend contents ! ainsi, en plus de lutter contre la dépression, cette activité booste les cinq sens et la mémoire. Un bon moyen de prévenir les contaminations neurologiques telles que l’Alzheimer par exemple. Cultiver ses propres fruits et légumes, c’est la garantie d’une meilleure alimentation, plus équilibrée. Mais le jardinage est aussi une véritable activité physique qui, en plus de encourager une meilleure assimilation, permet de cramer de nombreuses kcal. Il rééquilibre le système immunitaire tout en limitant la pression artérielle. De quoi lutter contre les risques de maladies cardiovasculaires ! par ailleurs, en jardinant vous renforcez vos os et vos biceps. C’est alors d’informer les risques d’arthrose et de polyarthrite rhumatoïde. il faut savoir à chaque fois que son action tonifiante agit sur l’ostéoporose.

Du premier point découle ce second. Est-il bien raisonnable d’acquérir et de planter en période de fort givre ou, pire, juste avant la canicule ? Êtes-vous sûr, alors, de pouvoir prodiguer à votre nouvelle achat les soins nécessaires et en particulier les arrosages obligatoires à sa bonne reprise. En règle générale, prennez des plantations plutôt plus petites qui s’installeront avec une plus grande facilité et, bien souvent, rattraperont en croissance les crudités plantés en plus gros discussions. Ceci est d’autant plus tangible pour les plantations de haies, si dispendieuses. une fois les plantations assimilées, ne les délaissez pas dans un coin, surtout s’il s’agit de petits godets. Installez-les à figure au plus vite. sinon vous risquez de les voir dépérir, se dessécher ou du moins s’étioler. D’un autre côté, ne plantez pas pour autant à la va-vite. Considérez votre achat comme un investissement en la postérité et soignez-le ainsi que les arrosages jusqu’à complète reprise. Le sol mérite toute votre attention. Ce matériau à première vue inerte est bien vivant et mérite respect, tout comme vos fleurs. Maintenez-le propre et bien aéré. Evitez de le aplanir en le piétinant. Employez les paillis de couverture pour les entretenir du froid comme de la chaleur.

Si tout cela vous semble un peu trop long ou compliqué à créer, il est possible de réaliser un potager surélevé ( en carré ou sur buttes ). En apportant alors un mixe de terre adaptée, vous vous affranchissez des contraintes de la nature de votre sol. Pour les régions ventées, un mur de la maison ou une haie sont idéals pour protéger vos légumes ; à défaut, anticipez d’installer en bordure du potager des groseilliers, des framboisiers, ou bien encore du romarin ou autre laurier-sauce qui feront un rempart gourmand fort appréciable. Il est toutefois sage de ne pas oublier que, quelles que soient les news que l’on met en place pour remédier aux « imperfections » de la nature, il est évidemment mieux d’essayer de s’adapter à son milieu ; un sol argileux ira parfaitement plutôt aux betteraves, aux épinards, aux fèves ou aux poirées tandis qu’une terre à tendance sablonneuse verra s’épanouir asperges, pastèques, pommes de terre et autres scorsonères. Et si le persil n’aime pas les sols trop acides, l’oseille se détourne de ceux qui sont trop calcaires. ainsi, si le soleil n’illumine qu’avec parcimonie votre potager, optez pour les laitues, les épinards, les cèleris, ou tout autre légume se agréable à l’ombre ou à la mi-ombre. Faire son potager c’est accepter d’y consacrer un peu ( voire plus ! ) de son temps. Pour ne pas le perdre et se retrouver submergé par une besogne qui vous dépasse, il est nécéssaire de bien dimensionner son projet avant de le amorcer.

découvrez à reconnaitre les espèces les plus courantes, sera à terme un gain de temps. Si elles s’installent c’est car le sol est nu. Celles à enlever sont notamment le chiendent, liseron, armoise, oxalis, sans oublier les échardes et chardons avec une bèche afin d’extraire leurs origines. Les annuelles s’arrachent facilement à la main ou avec un sarcloir et peuvent servir au compost, être enfouies dans le sol à condition qu’elles n’ont pas grenées où être brûlées. De nombreux remèdes d’origine naturelle existent pour en naître à bout : la cendre de bois, purin d’orties ou d’Angélique, paillage, eau bouillante ou de cuisson des pommes de terre, huile essentielle de basilic, vinaigre blanc, sel iodé et bicarbonate. Mais toutes ne sont pas enlevées ! Certaines adventices préservent la biodiversité et sont nécessaires au sol ( rumex, trèfle ), aux animaux et pollinisateurs ( pâquerette, bardane, semences ). D’autres peuvent servir à des préparations pour la forme, telles que l’ortie, sauge, bouillon blanc et chélidoine. Produire son compost naturel est un excellent moyen de recycler les déchets du jardin et de cuisine pour les transformer en engrais organique. Il sera votre meilleur atout pour la forme de vos plantes et de vos arbres ! Il perfectionne l’aération du sol et facilite la rétention de l’eau et des substances nutritives. Le compostage est un process lent qui demande de la patience mais la présence de vers de terre dans les déchets de terre accélère la décomposition et améliore la qualité du compost. Installez- le en situation abritée et ensoleillée, idéalement entre 20° C et 24° C. On peut y mettre quelconque type de déchet végétal, sauf adventices vivaces, tiges ligneuses ( à part si broyées ) et du fumier animal sauf déjections canines ou félines. Les feuilles mortes peuvent être à chaque fois recyclées pour faire du terreau ou du compost. En cuisine, on extrait les épluchures de fruits ( sauf les agrumes qui se décomposent qu’à partir de 60°C ), de légumes, marc de café, coquilles d’oeufs, papier absorbant, carton… Mais pas de pain dans le compost car il est trop riche en ferment, ni pâtisseries !

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