Des informations sur Suivez ce lien

Texte de référence à propos de Suivez ce lien

Mais de quelle façon peut-on être sûr que c’est bien la ‘ réputation ‘ qui est à l’origine d’une dégradation de la santé mentale d’une personne célèbre ? Est-ce qu’une « » n’aurait pas pu développer un tourment mental même si elle était restée une de qualité nouvelle ? Autrement dit, quelques stars n’auraient-elle pas des « possibilités au mal-être » ? Il semblerait que cela soit souvent le cas, à en penser des évidences d’acteurs comme Catherine Zeta-Jones, Jim Carrey ou ben Stiller qui ont fait enfin leur coming désuet en augurant qu’ils étaient atteints d’un inquiète bipolaire ( ce sont particulièrement des facteurs génétiques qui sont à l’origine de ce tourmente ).

tous les très jeunes rêvent-ils de notoriété ? Beaucoup, quoiqu’il en soit, suivant le psychiatre et psychiatre J. -D. Nasio, réalisateur de Mon corps et ses peintures ( Payot, 2007 ) : « Ce libido apparaît plus aisément chez eux, car il est fréquemment soutenu par la quête d’identité. Le jeune nécessite de la reconnaissance des autres pour savoir qui il est toujours plus, tandis que les gens mûres n’ont nul besoin d’être reconnues pour se sentir commodes. » La véritable question qui demeure est celle du passage à l’acte. « Je ne suis assemblé sur scène, mais je suis dorénavant un sociologue apprécié, qui continue à désirer la réputation, avoue François de Singly. Il y a donc eu un déplacement. Rêver de célébrité à 15 ans, c’est peut-être avoir des possibilités d’être apprécié, éventuellement dans un autre secteur, à 40 ans… »

Les compagnies d’assurance rendaient son engagement économiquement prohibitive : l’acteur, à la renommée mou, risquait de enfoncer n’importe quand. Happy ending : depuis huit ans, sa minimalisme impeccable n’égale que ses succès au box-office. Mais on attend toujours le come-back professionnel de Lindsay Lohan… « Nombre de mes malades, acteurs et vedettes, m’ont été adressés par leurs producteurs, parce qu’ils n’étaient plus en état de leur faire gagner de la monnaie », observe Marie-Dorée Delachair. Cette perspicace franco-américaine, spécialiste des addictions, a pratiqué dix ans à Los Angeles. « J’intervenais pour transporter des patients, fréquemment accros à la cocaïne, en cure de désintoxication. » Elle s’est même retrouvée médiateur sur un plateau de prise de vues. « Une famille dysfonctionnelle comme les autres, analyse-t-elle. J’ai dû soulager les luttes d’être capable d’, les canaliser à leur projet commun. » Déontologiquement, Marie-Dorée est vie de préserver l’anonymat de ses malades. Hollywood affectionne la furtivité.

Devenir connu est un désir quasiment incontournable à le plus jeune âge. Ce existe depuis longtemps et peut être vu de divers angles. Effectivement, pourquoi les encore adolescents rêvent-ils de devenir notoires autrefois ? Voilà ce domaine à se poser ! Diverses raisons telles une recherche d’identité, la matérialisation éventuelle d’un rêve et les de cela statu auguste répondent à ce problématique. tout d’abord, les adolescents désirent se montrer visiblement pour contenter un désir qu’ils chérissent, restauré par une quête d’identité, ou en d’autres mots, par le souhait de se faire percevoir d’une différente manière par les personnes qui les entourent. Ainsi, devenir connu propose aisément accès à la faculté de se reconstruire une marque identitaire et de procurer à cela désir de longue date.

Ça fait quoi d’être une ? «Un préjudice fou», répliquait Brigitte Bardot en 1962 dans «Vie Privée». Ophélie Winter pourrait aujourd’hui ramasser le but. Depuis 2 mois, les images de la descente aux enfers de la chansonnière star des années quatre-vingt-dix font la une de la presse site visitors. Sans domicile, criblée de dettes, la célébrité élan dans les rues parisiennes, écumeux les chambres d’hôtel de la paris. Comment une chansonnière abondant a-t-elle pu se retrouver dans cette situation en à peu près quelques temps ? Contactée en direct dans l’émission de Cyril Hanouna, l’interprète de «Dieu m’a donné la foi» a révélé quelques indices : «C’est pas l’éclate, mais tout est de ma faute. Quand tu te fais voler ou quoi que ce soit, le seul dénominateur commun, c’est toi».

Explication la plus évidente : nous autres individus aimons vivre par procuration; nous test aux spécimens plus riches, plus notoires, plus beaux et plus prisés que le restant de notre type. Qu’elle soit formulée en termes de jalousie, d’admiration ou de persiflage, la désir pour les personnes célèbres est tout d’abord une empathies : nous tentons d’imaginer ce que ce serait de vivre une existence plus et plus sympatique. Ainsi la vie de débauche de Charlie Sheen correspond-elle aux goûts de loin d’entre nous, qui aspirent à s’affranchir des standards bourgeoises. Partir en vacances aux Bahamas sur un jaillissement privatisé au milieu de jolies personnes célèbres du plaisir, remplir une paquet de briques de sniff, envoyer viander votre patron : face à un tel conduite, le «quelle opprobre ! » n’est jamais très loin du «si seulement c’était moi…».

Complément d’information à propos de Suivez ce lien


Publié

dans

par

Étiquettes :

Commentaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *